Day one of the Global Learning Festival

[Rituu B. Nanda]

 

We discussed how facilitators from diffferent approaches facilitate and encourage communtiies to take action on issues of their concern and how community life competence approach can learn from others experiences and improve on it. 130 people shared in 10 different languages.

 

The highlight for me was when a private sector participant said- I had forgotten that I was a human being in corporate settings where we are asked to keep our personal aspect aside.

 

“For me the highlight was discussing  what means humanity to us with different cultures from countries I have never been to and the great thing was that we agreed and understood each other “ Maartje, Holland

“I learned to be more experienced than being more theoretical... and to listen because we tend to plan prjoects in more interventionist way ” Murat- Turkey

An example from my group. We discussed the challenge of how do we prioritise when there are diverse interests in the community or the donor's interest does not match the communitiy interest.

One method suggested was prioritisation. This is done through needs assessment. Or we could ask the community on urgency, siginificance of the problem or capacity or opportunity of the community to take action.

 

Second method could be concurrent groups based on strengths in the community and link with external or outside resources.

 

Third method- addressing all issues but greater focus on issues that we lag behind

 

Fourth method- using broader community interest as an entry point (this is when for eg donor funding is for HIV but the priority of the community is something else)

[Rituu B. Nanda]

Day three

 

Bobby- the whole atmosphere is very exciting...the family is growing

Onesmus-There is good diversity - private sector, sex workers, truckers...illuminates the magic of SALT, there is strong conversation

[Marie Lamboray]

La discussion a porté sur la manière d’encourager les communautés à agir sur les questions qui les préoccupent. Comment les facilitateurs d’autres approches le font-ils ? Comment l’approche de la compétence communautaire pour la vie peut-elle apprendre d’autres expériences et s’améliorer ? Les 130 personnes présentes ont fait part de leur expérience en 10 langues différentes.

 

Un temps fort pour moi a été cette déclaration d’un participant du secteur privé : « J'avais oublié que j'étais un être humain en entreprise, où on nous demande de laisser notre aspect personnel de côté. »

 

« Le plus intéressant pour moi a été de discuter de ce que l’humanité signifie pour nous qui avons des cultures différentes, de pays que je n'ai jamais visité, et ce qui est important c’est que nous étions d’accord et que nous nous comprenions. » Maartje, Pays-Bas

 

« J'ai appris me concentrer plus sur mon expérience que sur la théorie ... et à être à l'écoute parce que nous avons tendance à planifier les projets de manière interventionniste. » Murat, Turquie

 

Par exemple, dans notre groupe nous avons discuté comment établir des priorités quand il y a des intérêts différents dans la communauté, ou quand l'intérêt du donateur ne correspond pas à celui de la communauté.

Une méthode suggérée a été d’établir les priorités selon l'évaluation des besoins. Nous pourrions aussi demander à la communauté quel est l'urgence du problème ou sa portée, quel sont leurs propres capacités et leurs opportunité d’agir pour chaque préoccupation.

 

Une deuxième façon de faire : des groupes agissent en parallèle selon les forces de la communauté, et se mettent en relation avec des ressources externes.

 

Troisième façon de faire : toutes les questions sont abordées, mais l'accent est mis sur les questions pour lesquelles nous sommes à la traîne.

 

Quatrième façon de faire : Utiliser la préoccupation qui concerne le plus de personnes comme point d'entrée.

[Indhu S]

Nice reckoner