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Nigeria Interfaith Dialogue - 2010 - Opening Music (1 min)

2011-04-21T20:22:26.388Z

Aishatu Ibrahim's original music and talk helped welcome participants into a safe place, preceding a variety of in-depth, face-to-face Dialogue experiences. The Muslims and Christians discovered their equal, shared humanity and that "an enemy is one whose story we have not heard. It was part of the 2nd International Conference on Youth and Interfaith Communication during October 22-24, 2010 in Jos, Plateau State, Nigeria. "Building Bridges Through Interfaith Dialogue and Youth Participation" was the theme for 200 diverse young women and men in face-to-face workshops that provided tools for successful communicaiton across old lines of fear and separation. It was initiated by the NEW ERA EDUCATIONAL AND CHARITABLE SUPPORT FOUNDATION of Jos, Nigeria, with facilitation by travelers from the co-sponsor 18-year-old JEWISH-PALESTINIAN LIVING ROOM DIALOGUE GROUP of San Mateo, California, USA. The African young adults returned home with new tools of Dialogue and it new quality of listening-to-learn. The hope was to unleash unprecedented cooperation and creativity needed to build successful, sustainable families, communities, and nations. More information is on the Web at http://www.youthinterfaithconference.org and http://traubman.igc.org/nigeria2010.htm

Stop and hear the music

2009-01-21T09:35:14.234Z

Le musicien de rue était debout dans l'entrée de la station L'Enfant Plaza du métro de Washington DC. Il a commencé à jouer du violon.
C'était un matin froid, en janvier dernier. Il a joué durant quarante-cinq minutes. Pour commencer, la chaconne de la 2ème partita de Bach, puis l'Ave Maria de Schubert, du Manuel Ponce, du Massenet et de nouveau Bach. A cette heure de pointe, vers 8h du matin, quelque mille personnes ont traversé ce couloir, pour la plupart en route vers leur boulot.Après trois minutes, un homme d'âge mûr a remarqué qu'un musicien jouait. Il a ralenti son pas, s'est arrêté quelques secondes puis a démarré en accélérant. Une minute plus tard, le violoniste a reçu son premier dollar : en continuant droit devant, une femme lui a jeté l'argent dans son petit pot. Quelques minutes ensuite, un quidam s'est appuyé sur le mur d'en face pour l'écouter mais il a regardé sa montre et a recommencé à marcher. Il était clairement en retard.

Celui qui a marqué le plus d'attention fut un petit garçon qui devait avoir trois ans. Sa mère l'a tiré, pressé mais l'enfant s'est arrêté pour regarder le violoniste. Finalement sa mère l'a secoué et agrippé brutalement afin que l'enfant reprenne le pas. Toutefois, en marchant, il a gardé sa tête tournée vers le musicien. Cette scène s'est répétée plusieurs fois avec d'autres enfants. Et les parents, sans exception, les ont forcés à bouger.Durant les trois quarts d'heure de jeu du musicien, seules sept personnes se sont vraiment arrêtées pour l'écouter un temps. Une vingtaine environ lui a donné de l'argent tout en en continuant leur marche. Il a récolté 32 dollars. Quand il a eu fini de jouer, personne ne l'a remarqué. Personne n'a applaudi. Seule une personne l'a reconnu sur plus de mille personnes.

Personne ne savait que ce violoniste était Joshua Bell, un des meilleurs musiciens sur terre. Il a joué dans ce hall les partitions les plus difficiles jamais écrites avec un Stradivarius de 1713 valant
3,5 millions de dollars. Deux jours avant de jouer dans le métro, sa prestation au théâtre de Boston était « sold out » avec des prix avoisinant les 100 dollars la place.

C'est une histoire vraie. Joshua Bell jouant incognito dans une station de métro a été organisé par le « Washington Post » dans le cadre d'une enquête sur la perception, les goûts et les priorités d'action des gens. Les questions étaient : dans un environnement commun, à une heure inappropriée, pouvons-nous percevoir la beauté ?
Nous arrêtons-nous pour l'apprécier ? Reconnaissons-nous le talent dans un contexte inattendu ? Une des possibles conclusions de cette expérience pourrait être : si nous n'avons pas le temps pour nous arrêter et écouter un des meilleurs musiciens au monde jouant quelques-unes des plus belles partitions jamais composées, à côté de combien d'autres choses passons-nous ?

La même chose se passe parfois quand nous visitons des communautés, soit-disant en développement, n'est-ce pas?

All beats and philosophies of the world fit

2008-12-29T15:54:24.481Z

This is the trailer of the movie "What about me". Two young guys travel around the world to record local music and show that rythme is our universal language. Example: Indians will compose on a beat recorded in an African village, mixed with Irish music, etc. A true demonstration of our common humanity...

For more information on "What about me", go to their website: http://www.whataboutme.tv/fullepisodes/video5.html