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BELCOMPETENCE – WEEKEND DE PARTAGE SUR LA FACILITATION

 

  • Exercices de présentation et faire connaissance

  1. Par deux, chacun explique à l’autre de quoi il est reconnaissant. Puis chacun présente au groupe ce qu’a dit son partenaire.

  1. Discussion : Qu’est-ce qu’on a ressenti pendant l’exercice?

Réponses :

Sourires ; nous connecte à l’énergie universelle ; mettez deux personnes ensemble, cela crée une énergie plus forte, 20 personnes, ce sera très puissant ; être reconnaissant à chaque instant, ne pas attendre des miracles ; être reconnaissant n’est pas une décision, c’est un état d’âme ;

Connexion à autrui plutôt que connexion individuelle.

1 Différence entre être fier ou être reconnaissant : les deux sont intéressants. A choisir selon le public, le contexte, …

Quand au partage du ressenti : il faut partager comment on fait, sans esprit de hiérarchie.

  • Fixer ensemble l’agenda du weekend

  1. On se base sur le cadre d’auto-évaluation du facilitateur. Partage en petits groupes : où est-ce que je me trouve concernant les différentes compétences d’un facilitateur SALT ? (Annexe 1). Chaque groupe détermine sur quoi il désire travailler prioritairement durant le weekend.

  2. Mise en commun et un groupe de volontaires détermine le programme du weekend en fonction des résultats ressortis des sous-groupes.

 Technique pour former des sous-groupes : chaque participant dit 1 – 2 ou 3 selon la place où il est assis. (ex : premier = 1, son voisin= 2, le suivant= 3 et on recommence). Ensuite tous les 1, tous les 2 et tous les 3 se réunissent en sous-groupe. Alternatif : le premier trio 1-2-3 forme un sous-groupe, et ainsi de suite.

 Technique pour partager la prise de parole dans le groupe : avoir un « bâton de parole », seul celui qui le tient peut parler. On se le passe ou le facilitateur le passe.

 Lors d’une formation, demander à un/des participants de faciliter eux-mêmes une séquence

 Energizer : « I have a ball – and pepeta, and pepeta”. Une simule tenir une balle en main, et la place à different endroits du corps, les autres l’imitent, puis on bouge cet endroit du corps.

  • Input de JAN

Que voyez-vous ?

Managers : regardent la moitié vide

Facilitateurs : regardez ce qui existe et comment

remplir l’autre partie sur base de ce qui existe.

AGENDA partagé

  1. Expliquer le cycle pour pouvoir l’expliquer à une communauté

  2. Sessions pratiques :

    1. qui est « la communauté « ? Qui est le « nous » ?

    2. Partir de la vision et arriver aux pratiques

    3. Faciliter le passage à l’action

    4. Construire une perle du savoir

    5. (foire d’ échanges mais n’a pas été fait par manque de temps)

  3. Communiquer ce qu’est SALT

  1. Le cycle SALT – expliquer les étapes à une communauté.

En sous-groupes, une ou deux personnes présentent le processus SALT. Le sous-groupe discute de ce qui est important quant au contenu et à la forme. Une personne de chaque sous-groupe présente devant le grand groupe.

Discussion - Ce qui ressort :

Important d’expliquer le pourquoi de chaque étape du processus ; bien expliquer quel est mon rôle en tant que facilitateur, il n’y a plus de hiérarchie ; facilitateur vient pour apprendre autant que les membres de la communauté ;

Ne pas entrer dans un mode « interview » mais comprendre, en posant des questions, pourquoi la communauté est là. Rester dans son rôle de facilitateur.

Il y a souvent un moment où le facilitateur et la communauté sont un peu perdus car la communauté attend un expert, le facilitateur attend que la communauté s’exprime.

Etre flexible dans la gestion du programme et du temps.

Important de faciliter à plusieurs.

Rappeler les règles de communication –de respect ? »

  1. Sessions pratiques

a) Qui est « la comunauté » ? Qui est le « nous » ?

 Joke suggère la méthode d’assistance par les pairs :

1° une personne formule sa requête

2° elle suggère sa façon d’avancer

3° les autres peuvent poser des questions pour mieux comprendre la requête

4° on ne parle que si on a une expérience à partager. On contribue son expérience. On ne dit pas « il faut, tu dois », on ne juge pas.

5° la personne demanderesse qui a écouté restitue ce qu’elle a appris

Trois personnes formulent une question. Ensuite, chaque question fait l’objet d’un partage d’expérience en sous-groupe.

Les questions :

I. Une entreprise peut-elle constituer une seule communauté au-delà des hiérarchies traditionnelles. Au-delà des clivages ?

II. La présence d’une entreprise minière dans un pays en développement peut-elle être le départ de la formation d’une communauté impliquant l’industrie minière, les communautés locales, les ONGs, .. ?

III. Si dans une entreprise, un groupe de chefs d’équipe a un intérêt commun, un rêve : comment peuvent-ils inclure les autres collaborateurs ?

Ce qui ressort du sous-groupe sur la question II :

  • Quand des membres d’une communauté n’osent pas s’exprimer, faire d’abord des sous-groupes qui se rencontrent chacun à leur tour. Ils font leur rêve, puis mise en commun.

  • Exemple en côte d’ivoire, activité santé avec le planning familial, l’église, … : il faut impliquer la population mais aussi l’église, qui est contre le planning familial (imams, évêques). Et progresser dans des sous-groupes d’abord.

  • SALT peut éviter plus de désastres par après, sur le long terme.

    • Montrer les facteurs importants de chaque acteur. Par ex l’industrie minière crée de l’emploi. Cela permet d’éviter que par après les communautés s’opposent à l’industrie et que des émeutes/conflits éclatent.

  • Comment convaincre le plus fort (débat sur la notion de « plus fort » : faut-il l’accepter, ou mettre tout le monde sur un point d’égalité dès le départ ?).

    • Par exemple en Inde, drogue et VIH dans un village. Eglise stigmatisait et excluait les patients VIH et les drogués. Visites SALT, d’abord en sous-groupes : les femmes – les jeunes- les dirigeants de l’église- les anciens. Petit à petit une équipe de facilitateurs locaux s’est formée constituée de membres de tous les groupes. Puis construction du rêve avec chaque sous-groupe. On découvre que les dirigeants de l’église ont aussi un rêve. Chacun présente son rêve, et on construit un rêve commun. Puis auto-évaluation, plan d’action,… Depuis, il y a eu un grand changement, tous les dimanches à la messe, il y a une collecte pour ceux qui sont morts du VIH/Sida. Cela a pris un an, a la fin tout le monde se parlait. Et les facilitateurs locaux font encore des visites SALT. Les dirigeants de l’église transfèrent cette expérience à d’autres dirigeants

      • Faut mettre les gens ensemble. Quand c’est ton propre rêve, tu es plus impliqué.

  • Il faut poser la bonne question !!! Par exemple : poser la question du rêve de quelqu’un en tant que mère, en tant qu’humain, en tant que chef de famille. Pas en tant que patient VIH, ou prêtre, ou chef d’entreprise.

DEBRIEFING en grand groupe

Question I :

  • Cela fait partie de notre culture de se présenter sur base de notre profession et de nos études. Il faut systématiser les réunions où on se rapproche, on se rend compte qu’on n’est pas si différents. La hiérarchie peut être comme une forme de racisme.

    • Ex : offrir la même formation à tous les employés

    • Apprendre à ceux qui sont en bas de l’échelle des compétences que les autres n’ont pas. Par ex : formation outlook 2010 pour les secrétaires. Une entreprise, une communauté est comme un corps humain : si un organe ne fonctionne pas, rien ne fonctionne. Chaque petite tâche est importante.

    • Il faut un rapprochement physique et régulier en réunion. Donner la parole à chacun et que chacun sente que ce qu’il dit est important. Par ex : « moi, j’ai rien à dire ». Quelqu’un qui dit ça fait en fait passer le message « ce que je fais n’est pas important ». Il faut donner de l’importance au travail de chacun

Question II :

  • On est tous des humains, retour à l’humanité : sortir de la relation de pouvoir.

  • Trouver l’intérêt commun. Ex : augmenter la productivité- protéger l’environnement. Présenter l’avantage positif.

dominant

ensemble contre

Dominé

Si tu te présentes comme dominé, l’autre se comportera encore plus comme dominant. Idem : ensemble/contre.

  • Chacun doit sentir : TU ES BEAU , TU ES GENTIL, TU ES IMPORTANT !

Question III :

CONSTRUCTION DU REVE DE LA COMMUNAUTE « ET APRES »

Nous écoutons chaque rêve individuel, pour pouvoir ensuite construire le rêve collectif.

Le rêve est l’inverse du souci, des préoccupations. Le rêve vient aussi des préoccupations, donc c’est important de les écouter. On ne parle pas de ‘problèmes’, mais de ‘préoccupations’, de ‘soucis’. Car ‘problèmes’  vient de l’extérieur, ‘préoccupations’ vient plus de l’intérieur.

Le facilitateur doit croire en les forces de la personne qu’il a en face de lui.

Chacun s’exprime : « Quand je l’écoute, je n’existe plus » (Krishnamurti). Ce qui est beau est vrai et juste.

b) Partir de la vision et arriver aux pratiques. Construction des pratiques à partir de la vision.

Comment les formuler ? Si l’expression du rêve en Ecriture s’est réalisée en 10 phrases ces phrases peuvent déjà constituer les pratiques

  1. Voir les points communs de chaque rêve à regrouper sous une même dimension. Outil : grille générique d’auto-évaluation.

  2. Sous forme de « nous, (nom communauté) + verbe actif + complément (correspond alors au niveau 5 du rêve).

  3. Sur base du rêve qui doit avoir été bien facilité et formulé (conseil : prendre des notes pendant la facilitation pour bien saisir le rêve)

  4. Utiliser le langage de la communauté

  5. Utiliser un langage positif, appréciatif

  6. Utile qu’un facilitateur connaisse un peu l’historique et le vécu de la communauté

  7. S’assurer que

    1. Les pratiques contiennent le rêve entier

    2. Chacun comprenne les pratiques et mots utilisés de la même façon

 Formuler les pratiques de façon générale après avoir reformulé le rêve selon ces premières étapes. Ne pas partager ces étapes avec la communauté de façon explicite, mais les avoir en tête pour guider la communauté.

Lien entre le rêve et l’auto-évaluation :

on remplit la grille d’auto-évaluation avec des pratiques spécifiques, qui, quand elles sont parfaitement accomplies, doivent correspondre au niveau 5 de la grille. Quand toutes les pratiques sont au niveau 5, le rêve est atteint.

Une fois qu’on a trouvé les différentes pratiques, on commence l’auto-évaluation pratique par pratique, en commençant chaque fois par le niveau 5 puis en descendant de niveau si celui-ci n’est pas encore atteint. La communauté situe son niveau par rapport à l’échelle suivante.

  1. nous sommes conscients de ce qu’il faut faire mais pas assez pour agir

  2. Nous sommes suffisamment conscients pour agir

  3. Nous agissons de temps en temps

  4. Nous agissons de façon volontaire

  5. Nous agissons naturellement

 Les points négatifs existant dans la réalité de la communauté et de ses membres ressortiront toujours d’office, si les membres sont honnêtes. Ils diront lors de l’auto-évaluation : on est au niveau 0, rien ne va.

 Même si lors de la discussion des pratiques, le facilitateur a une idée concrète en tête, il est conseillé qu’il ne la partage pas automatiquement. Il faut d’abord laisser la communauté venir elle-même avec les propositions, et ne proposer soi-même une pratique que si la communauté coince ou oublie quelque chose.

ex. : dire « une autre communauté similaire a de telles pratiques, est-ce que cela pourrait vous (nous) convenir ?

 Les points négatifs existant dans la réalité de la communauté et de ses membres ressortiront toujours d’office, si les membres sont honnêtes. Ils diront lors de l’auto-évaluation : on est au niveau 0, rien ne va.

  1. Facilitation du passage à l’action

Après s’être située pour une dizaine de pratiques la communauté choisi 3 pratiques quelle juge prioritaire et pour lesquelles elle fixe le niveau à atteindre.

Ensuite elle détermine les actions faisables pour y parvenir et à partir de cela établit son plan d’action :

Pratiques prioritaires

Quoi?

Activités

Commen?

Stratégies

Qui?

Responsables

Avec qui?

Personnes concernées

Où?

Lieux

Quand?

Périodicité

Echéances

Mesure de changement

Indicateurs

Sources de vérification

 Si le programme s’avère trop chargé, prendre un moment pour fixer les deux priorités à traiter

 Avant de commencer le programme en lui-même : faire un tour de cercle ou chacun exprime en 2-3 mots sa météo intérieure du moment. Permet de saisir l’atmosphère du groupe et l’énergie des participants.

REVUE (REFLEXION) APRES L’ACTION du jour précédent.

Questions à se poser pour une revue (réflexion) après l’action :

  • Qu’est-ce qui s’est bien passé et pourquoi ?

  • Qu’est-ce qui aurait pu mieux se passer et pourquoi ?

  • Que faire à l’avenir ?

Cette revue après l’action qui permet de progresser se déroule après chaque activité ou visite

  1. Comment a-t-on préparé la visite de la communauté ‘Et après’ ?

On s’est adapté parce qu’on avait un programme. Le programme est là pour être adapté mais il est important d’en avoir un au départ.

  • Importance d’avoir un programme pour pouvoir l’adapter ensemble.

  • Importance d’adapter l’emploi du temps ensemble, en revenant vers le groupe

Si la communauté ne sent pas qu’il y a un programme, cela peut amener de très bons résultats. Càd que le programme est tellement bien préparé qu’on ne remarque même pas qu’il y en a un.

Si on ne présente pas le programme, les gens peuvent venir avec leurs suggestions. Mais il faut que ce soit très structuré dans la tête du facilitateur.

« Quand je l’écoute, je n’existe plus » (Krishnamurti). Ce qui est beau est vrai et juste.

  1. Auto-évaluation

  • Important de rappeler les règles de discussion et partage au début de la formation

  • Important d’inclure les personnes qui sont à un stade moins avancé que d’autres. Il est plus difficile pour elles de parler.

  • En cas de tensions, de conflit, ne pas les éviter, mais montrer aux personnes qu’elles sont écoutées, sans pour autant être d’accord avec elles. Demander au groupe ce qu’il en pense, décentrer la discussion d’une seule personne.

  1. Construire une perle du savoir

Qu’est-ce qu’une perle du savoir ?

Par ex : lors d’un partage d’expériences individuelles sur la compétence face au SIDA, pour en retirer des pratiques communes. Une participante, X, dirige depuis 20 ans une association qui fait de l’éducation par les pairs. Une des éducatrices, Y, la meilleure, la plus motivée, disparait. Pendant des semaines, pas de nouvelles. Des bruits courent qu’elle est enceinte. X l’aime beaucoup, veut lui parler, mais elle est introuvable. De nouveau bruits circulent : ‘le problème est résolu’.

Après 6 mois, Y revient travailler. X lui demande : pourquoi as-tu disparu ? Elle répond : vous exigiez la perfection, je ne pouvais pas venir.

Une autre participante à ce partage réagit en racontant une histoire qui illustre la même pratique, c.à.d. le fait que les gens doivent pouvoir apprendre de leurs erreurs. Si vous exigez la perfection, on ne peut pas faire d’erreurs et en tirer des leçons. Il faut donc créer un environnement où on puisse faire des erreurs, cela renforce les gens.

Une perle de savoir est constituée de principes communs pour l’action dégagés à partir d’expériences individuelles. L’inverse est parfois possible également : est-ce que pour tels et tels principes on a des expériences venant d’ailleurs qui les valident, ou pas ?

Ces perles de savoir sont constamment reformulées car on apprend constamment. Ce n’est pas une donnée fixe, une perle s’enrichit.

Exercice : quelques participants racontent une expérience individuelle sur le pouvoir de l’écoute et une perle de savoir est construite par le groupe.

  • Important : raconter l’histoire de façon synthétique et en sortir une leçon en conclusion.

  • 1 histoire= 1 leçon. Si en écoutant, j’en tire les mêmes conclusions qu’elles, pas de confusion possibles => alors c’est une perle du savoir qui se construit.

  • L’écoute doit être dirigée vers la résonance, pas vers la différence.

  • On ne parle pas de bonnes pratiques, car cela implique un jugement de valeur

  • Il est important de donner des titres aux histoires. Attention aux titres conceptuels. Il faut du contenu dans le titre.

  1. Communiquer ce qu’est SALT

Exercice dans le groupe entier : énumérer les situations dans lesquelles vous êtes amenés à présenter SALT et Belcompetence à des personnes extérieures ?

  • Faire naître un intérêt chez un ami

  • A ma famille

  • Expliquer à mon chef

  • Lors d’une conférence en 2 minutes

  • Lors d’un vol en avion en 1 heure

  • Dans une école

  • Auprès de mes collègues

Exercice : par groupe de deux, chaque groupe prend une des situations mentionnées ci-dessus. Un des deux est le membre de Belcompetence qui doit l’expliquer à l’autre personne.

  • Quand tu veux convaincre un inconnu en deux minutes : d’abord valoriser cet inconnu en quelques secondes, apprendre à le connaître. Puis voir quel message le touchera. L’important c’est la qualité, pas la quantité.

  • Illustrer avec des exemples concrets (ce qui a été fait et ce qui pourrait être fait)

  • Belcompétence fait partie de constellation

  • Partir des compétences- forces

  • Parler à partir du cœur (« est-ce que qqn a déjà écouté tes rêves ? »)

  • Prendre le temps

  • Eveiller un intérêt commun

IMPORTANT : qu’est-ce qui différencie Belcompetence du reste ?

  • Constellation : ensemble de Communautés qui agissent par elles-mêmes pour faire face à leurs enjeux

  • Sont en relation

    • Pour apprendre

    • Avancer ensemble

  • Approche utilisée : appréciation des forces locales (SALT)

  • C’est un art de vivre

  • C’est un processus systématique et continu en plusieurs étapes

Exprimer, illustrer, communiquer ces différents points selon les situations et les interlocuteurs.

VALEURS DE LA CONSTELLATION

  • Nous sommes tous HUMAINS

  • Toute communauté a des ressources pour faire face à ses enjeux

  • Le rêve de la constellation : que toute communauté fasse face à ses propres enjeux

  • Aspiration à un monde meilleur

A des bailleurs de fonds : VALEUR AJOUTEE : SALT est un complément aux autres services investis + augment l’efficacité car augment l’autonomie. SALT augmente le retour des ressources déjà investies.

Annexe 1 Autoévaluation du facilitateur

Je sais quelque chose à ce sujet

J’en ai une bonne compréhension

Je pratique cela de temps en temps, ou j’en ai quelque expérience

Je travaille régulièrement comme cela

Je réfléchis constamment à cela et je le mets en pratique

1

2

3

4

5

Notre façon de penser et de travailler

1

Je crois en les forces des gens et je les apprécie

2

Je travaille sur invitation et non en m’imposant

3

Je travaille avec les autres dans un esprit d’équipe et je suis capable de déceler des dynamiques et de faciliter un accord sur le processus

4

Je partage les savoir faire avec d’autres et je peux donner en retour des informations constructives pour aider au processus

Le processus de la Compétence

5

Je peux illustrer le concept SALT et mettre en place une expérience d’apprentissage utilisant les principes SALT

6

Je peux faciliter la “construction du rêve”

7

Je peux faciliter l’autoévaluation

8

Je peux faciliter l’élaboration de plans d’action

9

Je peux faciliter l’auto mesure du changement .

10

Je peux organiser et faciliter une Foire du savoir

11

Je peux concevoir une Perle du savoir

Compétences générales de facilitation

12

Je peux présenter l’ensemble du processus de la Compétence face au sida et montrer les liens reliant ses différentes étapes

13

Je fais preuve de souplesse et je peux adapter le processus aux circonstances

14

Je communique efficacement avec les membres de l’équipe, de façon à ce que chacun soit impliqué, et au clair vis-à-vis du processus

15

Je peux mettre au point les grandes lignes d’une expérience d’apprentissage

16

Je peux faciliter une « revue après l’action »

17

Je suis toujours ponctuel et préparé

18

J’écoute, je réfléchis et je pose des questions avec efficacité

19

Je peux résumer pour le groupe des points ou des idées multiples

20

Je peux gérer les conflits dans un groupe et intervenir efficacement quand cela est nécessaire

1 Ce symbole  est indiqué pour les conseils spécifiques à la technique de facilitation, conseil et astuces.

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